Bass Tong
SAM.
3 JUIN

Dans la rue ou sur scène, cet ancien étudiant des Beaux Arts promène sa lutherie sauvage : « Tout objet est une source sonore potentielle et pour transformer le trottoir en dancefloor, pas besoin de synthétiseurs hors de prix » raconte-t’il. En résulte une musique de récup’ low tech, qui s’inspire de la techno domestique de « Jacques« , des allemands du « Blue Man Group« , ou encore des congolais de « Kokoko« . C’est cette « techno du pauvre » qui amène, en avril 2020, Antoine de Caunes à lui consacrer un mini reportage dans lequel il le lie à une nouvelle génération de musiciens/bricoleurs !